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Tlemcen - Algérie - 11 au 13 octobre 2010

Préserver la biodiversité en Méditerranée

Algérie | 4 octobre 2010 | src.leJMED.fr
Préserver la biodiversité en Méditerranée
Tlemcen -

La Faculté des sciences de la Nature, de la vie et sciences de la terre et de l’univers, ainsi que le département de foresterie de l’université Abou Bekr Belkaïd et le parc national de Tlemcen organisent ce colloque international sur la gestion et la conservation de la biodiversité continentale dans le bassin méditerranéen, qui e déroulera les 11, 12 et 13 octobre 2010 à Tlemcen, en Algérie.

Photo ci-dessus : l’entrée d’honneur de la faculté des Sciences de la Nature de Tlemcen. © leJmed.fr - octobre 2010


Parmi les thèmes retenus pour cet important colloque auquel participeront d’éminents chercheurs et spécialistes de plusieurs pays méditerranéens : inventaire et évaluation de la biodiversité, inventaire de la faune et de la flore, objectif 2010 pour stopper l’érosion de la biodiversité ; biodiversité et particularisme méditerranéens, le stress et les perturbations comme facteurs d’organisation et de biodiversité, la dégradation des milieux, stratégies de conservation…

Dans un premier communiqué diffusé par l’Université Abou Bekr Belkaïd, les organisateurs expliquent le contexte et les objectifs de cette rencontre :

« La région méditerranéenne est l’un des 34 points chauds de biodiversité de la planète : elle possède des zones biogéographiques parmi les plus rares du monde et une biodiversité de grande importance et de préciser davantage.

Les points chauds de biodiversité se caractérisent à la fois par des niveaux exceptionnels d’endémisme et par des niveaux critiques de pertes d’habitats (d’au moins 70 %). Ils constituent, dès lors, l’objet principal des efforts de conservation »

Le bassin méditerranéen, indique le même document, a été le berceau de nombreuses civilisations. La biodiversité de la région méditerranéenne est cependant particulièrement menacée par les activités humaines. En tant que première destination touristique du monde, cette région marquée par une population dense et un développement intense est exposée à un large éventail de perturbations d’origine anthropique.

D’où l’opportunité de cette rencontre scientifique, qui va offrir aux chercheurs et aux gestionnaires impliqués dans des opérations de conservation des milieux ou des espèces la possibilité de présenter leurs travaux, leurs attentes et de discuter des collaborations nécessaires »

Pour de plus amples informations, écrire à :
med.biodiv2010@hotmail.com

Chahreddine Berriah pour le JMed.fr


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