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La Tunisie, 1er pays en Afrique où il fait bon vivre, selon une enquête du magazine « Newsweek »

Tunisie | 18 août 2010 | src.Info Tunisie
La Tunisie, 1er pays en Afrique où il fait bon vivre, selon une enquête du magazine « Newsweek »
Tunis -

Le magazine américain « Newsweek » vient de publier une enquête baptisée ‘‘The World’s Best Countries’’ (Les meilleurs pays au monde), qu’il a réalisée et qui comprend de nombreux indicateurs macro et micro-économiques. Il s’agit d’un classement des pays où il fait bon vivre, celui dont l’économie est la plus florissante portant sur une centaine de pays.

Photo ci-dessus : enfants jouant dans un jardin public de Tunis. © ATCE


Selon cette enquête, la Tunisie est classée 65e au monde (sur un échantillon de 100 pays) avec un score de 58,80 (sur 100 points possibles). Ainsi et selon ce classement, la Tunisie arrive en tête des pays africains, précèdant au classement cinq pays arabes : Maroc (67e), Égypte (74e), Syrie (83e), Algérie (85e) et Yémen (92e).

En haut de ce classement trônent les pays nordiques, avec en première position la Finlande grâce notamment à son système éducatif, suivie par la Suisse. La Suède clôture ce Top Ten. La Norvège est 6e, le Danemark 10e, les États-Unis 11e, l’Allemagne 12e, le Royaume-Uni 14e et la France 16e.

Cinq critères sont pris en considération dans ce classement. Ce sont, dans l’ordre : l’éducation, la santé, la qualité de vie, le dynamisme économique et l’environnement politique.

S’agissant des divers classements et scores de la Tunisie par indicateur, la Tunisie se classe 42e sur 100 pays, dans le secteur de la santé pour un score de 75,85 ; 58e pour son dynamisme économique avec un score de 42,63, et 60e pour la qualité de vie pour un score de 64,79.

Newsweek soutient avoir utilisé et recoupé de nombreux chiffres macro et micro-économiques pour réaliser son classement, en se basant sur cinq aspects jugés primordiaux : la qualité de vie (qui intègre la richesse et les jours de repos), le dynamisme économique (qui mêle à la fois la croissance économique en elle-même et le nombre de gens vivant sous le seuil de pauvreté), l’éducation, la santé (qui allie la qualité intrinsèque des soins, leur accès et leur coût) et l’environnement politique.


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